Voici de curieuses bouteilles vues au restaurant l’Avant-Goût 26 rue Bobillot (une excellente adresse). Christophez Beaufront fait la cuisine (bien) et cuisine le verre et d’autres ingrédients à ses heures.
On en saura plus là.
Ce blog est la chronique, dédiée à la vigne et au vin, d'un viticulteur amateur ivre de "fun" et de beauté.
Voici de curieuses bouteilles vues au restaurant l’Avant-Goût 26 rue Bobillot (une excellente adresse). Christophez Beaufront fait la cuisine (bien) et cuisine le verre et d’autres ingrédients à ses heures.
On en saura plus là.
Des amis du clos nous ont adressé cette affiche publicitaire.
Renseignement pris sur le site de référence rebel-tb-etampes.fr, ce tire-bouchon français à levier et crémaillère serait dû à Victor Rousseau (brevet déposé en 1905).
C’est l’occasion de nous remémorer nos précédents articles l’art de déboucher une bouteille et l’origine du tire-bouchon.
Gelées, grêle, sécheresse, humidité, froid, maladies… Chaque année les vignerons tremblent pour leur précieuse récolte. Qualité et quantité dépendent de tous ces aléas, mais aussi, on le verra, du travail, de la vigilance, de l’expérience et de l’intelligence des vignerons.
L’an 1258 est de ce point de vue emblématique. Ce fut une année terrible, qui ne connut pas d’été, les fruits ne poussèrent pas, le foin pourrit, avec pour conséquence famine et maladies. On dit qu’à Londres un tiers de la population mourut.
Etre ivre sans boire ? C’est possible si l’on en croit la radio texane NPR ainsi que le rapporte le blog Big Browser du Monde.
Apparemment certains sujets, extrêmement rares, fabriqueraient eux-même dans leur estomac de l’éthanol à partir de l’amidon contenu dans les aliments qu’ils ont ingurgités.
Voici quelques images rapportées de Donostia, au Pays Basque espagnol.
Ce Saint Vincent est exposé en l’église de San Vicente (notez la grappe tenue par l’Enfant)
Cette enseigne ne donne-t-elle pas envie de rentrer ?
Il est des plaisirs sans prix et comme dit la chanson, money can’t buy me love (encore que l’amour, ce n’est pas que du plaisir…).
Mais tout vin a un prix (en tout cas pour celui qui (se) l’offre) ; qu’en est-il du plaisir qu’il donne ?
Voici un message urbain aperçu au coin de la rue Durantin et de la rue Tholozé, à Paris 18ème. Etonnant, non ?
C’est une citation de Charles Bukowski, ce « dirty old man » : You have to die a few times before you can really live.
Qu’en comprendre, si ce n’est qu’il faut avoir failli perdre la vie pour connaitre son prix ? et quelle est l’intention du tagger ?
et pourquoi la bouteille ? Bon d’accord, avec Bukowski ; ou peut-être parce que…
(vu dans la collection de photos de la photographe Nadia Jung)
encore que…
Il est un curieux festival organisé depuis quelques années à Prague, le Melounovy festival. Le thème ? La sculpture sur pastèque. Les oeuvres sont réalisées sur place en temps limité ou en temps libre.
Voici une des oeuvres réalisées en 2008, qui devrait intéresser les amis du Clos.
Ca c’est Paris ! La Tour Eiffel et la vigne !
Etonnant non ?
Amazing !
Notons qu’en France nous avons un champion, il s’agit d’Olivier Herbomel , sculpteur sur fruits et légumes, qui y a été souvent primé.Voir là son interview par la Voix du Nord.
Moins connues que les caves du Chemin des Vignes à Issy-les-Moulineaux, les Crayères des Montquartiers se situent un peu plus loin sous le même coteau.Depuis Clamart, une sente y descend.
Elles valent le déplacement, surtout lorsqu’une dégustation y est organisée comme c’était le cas ce dernier week-end. En avant pour une petite visite…
Ces Crayères ont été creusées il y a deux cents ans pour extraire la craie, on y cultiva ensuite des champignons de Paris, elle hébergea enfin la plus grande brasserie de la région parisienne, nous dit-on.

Remercions les viticulteurs des Lutinières de Montlouis qui nous avaient invité à cette rencontre entre amis vignerons. Nous les connaissons pour les avoir rencontré dans d’autres caves à Cinq Mars la Pile, au salon Vins et Délices, réunion annuelle que l’ensemble vocal Alingavia de Langeais anime avec bonheur.
Nous découvrîmes aussi quelques beaux crus comme ce domaine de Calavon (côteaux d’Aix) « tradition » 2009 (carignan/grenache), au nez de café, délicieux, les Arbois de Martin Faudot, et l’excellent Chinon « cuvée Fleurs de la famille Rouet à Cravant les côteaux.
Nous parlions du champagne et de ses bulles il y a peu. Nous savons bien qu’il n’y a pas qu’en Champagne que l’on produit des vins mousseux, dont les bulles concentrent les arômes du vin. On en produit dans le monde entier, de diverses façons.
L’ex URSS ne manque pas à l’appel. Champagne soviétique… pas mort !
Une amie du clos nous a ainsi fait déguster un vin rouge effervescent demi-sec de l’Artyomovsk Winery.
Quoique surpris par la couleur et la douceur du breuvage, nous l’avons clairement apprécié.
Il s’agit en fait d’un vin de qualité, fait de Cabernet, Merlot et Saperavi (cépage géorgien), « à la profonde couleur rubis foncé, au bouquet prononcé avec une note de prune en fin de bouche », nous dit-on. Il est produit à Artemovsk ou Artemisk en Ukraine, à 200 km au SE de Kharkov, selon la méthode « traditionnelle », comme en Champagne.
C’est dans les anciennes mines de gypse d’Artemovsk, à la température ( de 12 à 14°) et à l’humidité (88-90%) constantes, que la fabrication d’un vin effervescent qui ne le céderait en rien au Champagne français fut décidée par Joseph Staline en personne, au lendemain de la Grande Guerre Patriotique.
Rien à voir donc avec le vin bon marché qui porte souvent le nom de Champagne Soviétique et qui est élaboré par la « méthode russe » (lauréate du prix Staline en 1942, ainsi que du prix Lénine en 1953) de prise de mousse par circulation en cuves contenant notamment des copeaux de chêne.
pour en savoir plus…