Les clameurs de la vigne

A deux pas du bon clos (le clos des volontaires), à l’espace Saint-Jo de Clamart, ce salon réservé aux vins naturels méritait une visite.

On y a retrouvé l’ami Marcel, venu faire déguster les vins de Clamart (pas naturels pour un sou, il faut l’avouer).

que du bio, du nat(urel),  et des petits domaines (4ha typiquement).
Car le vin Naturel, ça veut dire : Un vin issu de raisins travaillés en Agriculture Biologique certifié, vendangés manuellement. ; un vin vinifié et mis en bouteille sans aucun intrants, additifs, et sans technologies visant à modifier le jus. (d’après le site vins naturels.fr)

Bien nous en a pris car on y a fait de belles rencontres.

Il n’y avait donc que du bio, du nat(urel),  et des petits domaines (4ha typiquement).

Commençons par Alex, qui fait du vin sur un petit terroir de 6 ha à Mareuil dans le Val de Cher.

Nous avons bien aimé son « premier soir » (un gamay en macération de 4 semaines) et ses « trésors perdus » (Chenin vieilles vignes, de garde).

Son voisin de stand Robin a quitté Montpellier pour s’installer dans les P.O. dans son domaine « Sous le Vent« et des raisins achetés à des viticulteurs sélectionnés. Sa bannière : « Sin prisa sin pausa«  que l’on peut traduire en français « qui va piano va sano ».
Après avoir goûté tous ses crus, nous ne sommes pas repartis sans une bouteille de Pipiripips,(mourvèdre et grenache).

 Nous avons rencontré aussi Vincent Thomas qui produit des vins blancs et rouges du côté de Tonnerre. Son marselan (résultat du croisement des cépages cabernet sauvignon et grenache noir, créé en 1961, près de Marseillan par les chercheurs de l’INRA et de l’ENSAM, variété résistante à la sécheresse et aux parasites) est décoiffant.
Et Charles Bouly, du domaine de la Créchette à Ingrandes-le-fresne-sur-Loir, à l’extrême ouest du M&L .

Encore un qui mérite la revoyure (Nul n’est sensé ignorer la Loire !)

La Cave à Janot se situe à Moissat dans le Puy de Dôme, à 20 bornes de Clermont. Avec Cécile, ils font des vins avec des cépages traditionnels comme  le Gamay d’Auvergne et le Plantet noir, mais aussi avec Chardonnay et Pinot noir.

Nous sommes repartis avec la cuvée Chauchard, peut-être pour l’étiquette que l’on doit à l’artiste Jean Chauchard ?

Revenons dans le bassin de la Loire, où nous rencontrons Brendan et Sean (père et fils) Tracey, qui proposent des vins de multiples cépages (Domaine Le Clocher – Les Vins de Sainte Anne). Il y a fort à faire et nous repartons, après une longue pause, avec un pineau d’Aunis.

Il y aurait encore tant à faire, mais la nuit tombe. Une dernière halte chez Shant Zadourian, qui importe des vin d’Arménie. Il y en a tant et tant !

Il est aussi caviste rue Brancion (au 69bis).
Nous repartons avec un  muscateni effervescent, un pet’nat ! 

Et voila le tableau de chasse :

Avec tout ça le film dont la projection était prévue est passé à l’as. N’importe, le DVD Wine Calling (le vin se lève !) est offert, on le regardera à tête reposée. Merci donc aux organisateurs, Sébastien Hommet qui propose des aventures oenotouristiques avec Oenowalk, et Fabrice Mury du Café du Marché, restaurant clamartois.

Initials GG (mots croisés)

Nous affectionnons les grilles géantes de l’été de Gaétan Goron, verbicruciste au Nouvel Obs, après l’avoir été à Libé. Encouragé par l’enthousiasme de ses fans, il a pris le challenge d’en convoquer une douzaine chez un caviste du père Lachaise, et de construire une grille en direct, sur le thème du vin, avec eux.
Le vin a son vocabulaire, et les amateurs de mots croisés en rencontrent bien souvent sous des définitions réjouissantes.
André Deyrieux en a recensé une cinquantaine avec les définitions correspondantes de Michel Laclos, dans un article récent :Cruciverrebiste. Donnons en une : le pays du goût, en 7 lettres…
Les mots du vin sont bien plus nombreux. Martine Courtois en a dénombré plus d’un millier (les mots du vin et de l’ivresse, chez Belin),

et encore sans puiser dans l’immense lexique des noms de cépages (plus de 20000).

C’est un sujet que nous avons déjà abordé : voir les mots pour le boire, ou encore rouge-bord, un mot quasiment disparu qu’on n’entend plus guère.

On s’installe. On compte bien sur l’inspiration des canons servis généreusement par le maitre des lieux, Gaylord Van Wymeersch, qui privilégie les  « vins d’auteurs et vins d’artisans ». 
Il nous en a fait déguster quelques uns.

Celui de droite, « Mon coeur » de la cidrerie du golfe (du Morbihan), est une cofermentation de jus de pomme et de gamay. Résultats, 7° d’alcool, robe rouge clair, goût pommé évidemment, et ça pétille ! Réjouissant !
Son étiquette nous a un petit air de déjà vu (mais pas bu) : Bon sang mais c’est bien sûr, elle est sur le Bon Clos : c’est l’ouvrier ivrogne du Boulon, un ballet de Chostakhovitch, 1931 ).

Le suivant est un Mauzac de 2017, un Gaillac bien élevé nommé Zaucma du domaine des Causses Marines. Mais concentrons nous, il y a fort à faire.

On commence  par lister une bonne cinquantaine de mots qui pourront nous inspirer. 

On part sur une grille de 12 lignes et d’une dizaine de colonnes. « Gueule de bois » pour le 1 vertical, et Effervescent pour le 12 Vertical font l’unanimité.

En 1 horizontal,  quelqu’un propose « grenouille » , un cru du Chablisien. Pourquoi pas. On pourra donner une définition genre « a de la cuisse du côté de Chablis ».
Plus on avance, plus ça se complique. Heureusement, on a les cases noires, à consommer avec modération. Et jamais 2 côte à côte ! Il en faut une en (2,2), du coup on peut placer tanin, et if (accueille les cadavres en cave) !

Difficile de se rappeler dans quel ordre les mots sont placés. Longue hésitation avant d’opter pour « épépinée », en ligne 6. « Liège » trouve sa place (bouche-trou ?), « rosier » aussi ( lanceur d’alerte en tête de rangée de ceps, car première victime d’une attaque d’oïdium).

Ca commence à coincer grave. Gaylord fait déguster deux autres crus : un Sémillon du Périgord (pure S du domaine Jonc Blanc) et un assemblage Syrah Cabernet franc.
 In vino veritas ! On forme 2 groupes, espérant que la vérité jaillira de l’un ou des deux.

 Philtre finit par s’imposer (celui d’amour est sûrement alcoolisé !)
En bas de grille, pas d’autre choix que Sénégal. Ca va être difficile de trouver une définition ad hoc. Mais non : on y fait du vin depuis 2021 (le clos des baobabs –véridique)

Au bout de 2 heures, on arrive au bout. Il manque encore une lettre à côté d’un G. C’est le moment où Gaétan en plante triomphalement un deuxième : GG, ses initiales ! Il avait prévu le coup depuis le début en s’ingéniant à laisser cette case vide. Il vient marquer son terr(it)oir(e), c’est la clé de voûte, la cerise sur le gâteau…

Et voilà le travail !

Il lui restera à trouver des définitions en rapport avec le thème. On a mis quelques propositions en italique dans ce texte, mais, pour certains mots ce ne sera pas évident. Bon courage Gaétan ! Et merci d’avoir organisé cette sympathique séance.

Et merci aussi à Gaylord et sa cave des collines !

Vins du Yunnan

Des vins, mais pas que, étaient présentés à l’Académie de l’Agriculture, à l’invitation d’ Olivier Bouché, président du FIWA (France international wine &spirits awards), également président honoraire de la compagnie des courtiers jurés-experts piqueurs en vins de Paris, et du département du commerce de la province du Yunnan.

Les concours FIWA/FISA sont, nous dit-on, « incontournables pour aborder sereinement les marchés exports et tout particulièrement en Asie, les concours FIWA, FIWA BIO & FISA s’inscrivent tout naturellement dans un concept unique afin de vous aider à promouvoir vos vins et vos spiritueux en Chine. « 
Les trois concours ont lieu ensemble à deux périodes de l’année : la dégustation d’automne (à mi-octobre) qui coïncide avec les foires d’automne et les affaires de fin d’année et la dégustation à la porte du printemps (en février) juste avant les salons majeurs internationaux . »

En fait cela va dans les 2 sens et les vins chinois sont nombreux à se présenter à ce concours pour tenter d’entrer sur le marché européen.

Peut-on appeller vins des breuvages alcoolisés réalisés à partir de fruits ? A part les français, ça n’a l’air de gêner personne. En tout cas pas les chinois qui nous ont fait goûter du vin de myrtilles, de grenade,

 Du « vin » à 6,5° ! Le vin de grenade nous a bluffé : aromatique, léger, désaltérant…

Le Jinbula, vin de prune verte, a obtenu la médaille d’or aux éditions 2021 et 2024 du Concours FIWA. Etonnante et goûteuse expérience ! C’est le produit phare, élevé pendant plus de 5 ans.

L’Amphitrite, haut de gamme, est fortifié et rappelle nos vins doux naturels.

Mais on pouvait déguster aussi du vrai vin : blanc « crystal », rosé honey pink, rouge, de la région de MiLe (« la région du raisin du plateau »).

Très intéressant rosé notamment, 12,5°, puissant et long en bouche. Et le cabernet-sauvignon surpuissant (16,8°).

Il faut dire aussi deux mots des spiritueux, on a pu goûter des eaux de vie de sorgho rouge (42 et 50°),

Yunzhimeng, grande médaille d’Or FISA 2025

et un délicieux et inhabituel alcool de pêche.

liqueur de pêche Tao Cui

Le Yunnan est une province montagneuse du sud de la Chine, frontalière du Vietnam. A vocation agricole, la production se fait en altitude sur des plateaux à plus de 1500m. Elle nourrit bien des ambitions : la société LVMH s’y est implantée il y a une quinzaine d’années pour y produire « le meilleur vin de Chine ».

On ne terminera pas sans dire un mot des sauces aux champignons sauvages de toute sorte (morilles, matsutake, truffe noire, bolets, etc de la marque Pure fields. Une tuerie comme on dit.

Ni sans saluer l’ami Jean-Claude Ignazzi, de la Confrérie du Clos de Clamart, un familier du lieu, l’Académie de l’Agriculture, société royale dédiée à l’agronomie fondée en 1761.


A Vinexpo Paris

Vinexpo Paris, ou encore Wine Paris, ou Vinexposium..

Cet événement, qui se tenait du 10 au 12 février, a accueilli 5 300 exposants de 54 pays producteurs et plus de 50 000 visiteurs professionnels.
Un vrai Paradis, où 10 000 bouteilles, plutôt que 72 vierges, attendent le pèlerin…
Les reporters du bon clos s’y sont glissé et y ont fait de belles rencontres et découvertes…

Et pour commencer, ils ont assisté à une conférence intitulée NO LOW : l’alternative bénéfique
(Il faut entendre par là : No alcohol, et Low alcohol)

4 participants : un producteur (château Lacoste), un distributeur (groupe V&B : vente et dégustation de vins , bières, etc.),  un vendeur de solutions de désalcoolisation (B&S Tech),  et une experte de l’IFV, répondaient aux questions de Pauline Roche, de B&S Tech.

C’est une tendance récente permise par la technologie, qui cible les buveurs de vin qui doivent interrompre ou réduire leur consommation d’alcool, et ceux qui n’en boivent jamais.
Le vin est désalcoolisé par filtration par osmose inverse, ou encore par distillation sous vide à température modérée (35-40°C).
La désignation « vin désalcoolisé » n’autorise aucun intrant exogène, mais des boissons renforcées par de l’ajout de sucre ou de moût concentré, pour plus de rondeur, peuvent être aussi recherchées.
Un constat néanmoins : plus le vin de départ est bon, moins on ressent le besoin de le corriger après désalcoolisation.
Reste à savoir ce qu’en sera la réglementation, encore en cours de définition. (A noter : depuis l’an dernier la désalcoolisation jusqu’à 6 degrés des vins IGP est autorisée en France .)
On a pu déguster un rosé effervescent de Château Lacoste désalcoolisé tout à fait bluffant.

Voici maintenant une machine permettant d’incorporer 3 BIB, conservés à des températures paramétrables, et que l’on peut servir en des quantités également variables.

Mais allons goûter des « vrais » vins.

Gauthier Rémillard d’Affaux, des vignobles Victoire d’Affaux, dans le  Beaujolais, nous a fait déguster toute sa gamme : Saint-Amour, Fleurie, Moulin à Vent et Bourgogne blanc.

Que dire du Fleurie, cuvée Barthélémy, notre préféré ?

« robe cerise aux reflets violets. Arômes de framboise, de groseille et de mûre ; bouche riche et persistante au palais, aux tanins fondus »

Nous  avons rencontré sur son stand Claude Chapuis,

son ancien professeur à la Burgundy School of Business, également viticulteur à Aloxe-Corton et auteur de nombreux ouvrages sur le vin.
Un pavillon entier hébergeait les vignerons italiens. Nous y avons rencontré Giovanni Ricasoli-Firidoli, grand maitre (« capitane ») de la Lega del Chianti , et propriétaire du Castello di Cacchiano, un domaine historique du Chianti.

Ici le cépage roi est le Sangiovese, appelé communément en Corse Niellucio.

Le Gallo Nero, symbole du chianti classico

Après dégustation,

Castello di Cacchiano Chianti Classico D.O.C.G. si presenta di un colore rosso rubino brillante. Al naso esprime delicati aromi di piccoli frutti rossi freschi come ribes e lamponi uniti a delicate sensazioni di fiori d’arancio e spezie piccanti. Al palato l’ingresso è sapido e succoso, accompagnato da un tannino fine e da un’intensa ma ben bilanciata freschezza. Piacevole il retrogusto, caratterizzato da note di arancia rossa spremuta.

nous sommes allés faire un tour dans le Piémont, dans la région d’Alba, où nous nous rendrons bientôt. Là règne le Nebiollo : Barbera d’alba, Langhe, Barolo sont les dénominations d’origine.

Mais, comme on dit en italien, «  »partire, partirò, partir bisogna ». Il faut partir, l’esprit léger, mais le coeur lourd, car il restait tant à découvrir…

Ci vediamo l’anno prossimo !

wine gala

Pour sa 4ème édition, « the wine gala » de l’ Agence Rougeauxlèvres était placée sous le signe du disco et de sa fièvre. Plus de 724 personnes étaient conviées au Carré Montparnasse, pour découvrir ou retrouver une cinquantaine de domaine parmi lesquels, période oblige de nombreux champenois.

la dynamique Margot Ducancel et ses invités

Ce wine gala était sous le signe de la Disco Fever

et l’on n’a pas été peu surpris par une chorégraphie inattendue.

Champagne Gosset, cher à notre coeur, a eu bien sûr notre visite, mais nous y avons aussi retrouvé avec plaisir la fruitière vinicole d’Arbois, et rencontré plusieurs bourguignons qui n’étaient pas venus les mains vides ! les Vignerons des Terres Secrètes, une des rares coopératives de Bourgogne ; Nuiton-beaunoy, la maison Albert Bichot qui nous à donné une occasion de goûter au mythique Clos de Mouches…

Une découverte : les vins Intra (un Châteauneuf du Pape blanc) et Extra (Côtes du Rhône blanc), vins issus du « Vinarium®, une technique d’élevage révolutionnaire pensée et créée par Xavier Vignon », dans  » un contenant unique de 7 000 litres [ …] qui combine bois et inox pour créer des conditions d’élevage parfaites : 100% d’humidité et aucune trace d’oxygène..« 

On s’est particulièrement régalé avec un Châteauneuf du Pape rouge, le Clos du Calvaire, « vin d’une grande souplesse, aux arômes de fruits rouges et de pétales de rose. On retrouve un palais ample aux notes fraiches de garrigue sur des tanins fins et persistants. Cette cuvée brille par sa finesse de fruit et son harmonie en bouche ». Que dire de plus ?

soreli blanc

Une fois n’est pas coutume, donnons un coup de chapeau à cette bouteille que l’ami Georges Kopcsan a fait déguster à une assemblée d’amateurs, la plénière de Cocorico (comité de coordination des confréries d’Ile de France).

Pour GK, le nez est « typiquement rhodanien avec des notes expressives de pêches blanches et d fleurs blanches… », l’attaque en bouche est équilibrée et gourmande mettant en avant les fruits blancs au sirop, comme la pêche et la poire », la finale est sapide et ronde !
Le cépage Soreli blanc est un hybride, résistant au gel et au mildiou, réalisé il y a une vingtaine d’année en Italie, par croisement de friulano (dit aussi sauvignonasse) et de Kosma 20-3 (un hybride dû au hongrois Pál Kozma).

« élégant, fruité et très aromatique, digne d’intérêt, il peut quelquefois manquer d’acidité, avec une douceur l’emportant sur la saveur et offrant généralement un degré de persistance assez long. Arômes de fruits mûrs, fruits tropicaux (ananas, fruits de la passion, mangue, …), … . » pour les cepages.free.fr

« Bonne accumulation des sucres, notes de fruits exotiques,agrumes, notes florales », pour l’observatoire des cépages résistants

Chacun jugera. Cette bouteille est proposée pour un prix modique par les Etablissements Nicolas dans sa gammes des petites récoltes : 3,5 € actuellement ! Qui dit mieux ?

Mazette !

Bien nous en pris de répondre à l’invitation de l’agence Rouge aux lèvres de Margot Ducancel, « l’influenceuse n°1 du vin en France« , qui organisait lundi soir sa 5ème « Rosé Summer Party » sur la péniche Le Mazette (« péniche ultra tendance amarrée en plein coeur du 12ème ! » c.a.d. Quai de la Râpée en face de la gare d’Austerlitz ).

Parmi la 40-aine de producteurs de rosés, venus de toute la France, un contingent important de Champagnes et de vins de Provence et du Languedoc, bien sûr.

Nous y avons fait quelques belles rencontres comme le Domaine Anne de Joyeuse, dans le vignoble de Limoux, qui présentait sa cuvée Alta. Son assemblage, comprenant 60% de malbec, développe un subtil « bouquet d’agrumes marqué par le pamplemousse… »

Autre trouvaille, le domaine de Léos à L’Isle sur Sorgue, dont la cuvée Augusta s’avère d’une incroyable longueur en bouche, chose rare pour un rosé.

Composée avec 60% de grenache, elle est assemblée avec rolle (vermentino) et bourboulenc, » fin dosage entre le Grenache qui donne une belle assise à la structure et l’aromatique, le Bourboulenc qui apporte du gras et le Vermentino qui vient donner du «peps» et offre une belle finale fraîche..« 

Devinette : fils d’Augusta, père de Léon et Oscar (Leos), qui est le créateur et propriétaire de ce domaine qui produit aussi une huile d’olive réputée ?

Il y avait aussi deux « Outsiders » : Pierre Chavin qui produit un vin désalcoolisé,

« Paré d’une séduisante robe rose pâle, le Chavin Zéro Rosé vous accueille avec un bouquet flatteur, vibrant d’arômes de fruits jaunes et de fleurs blanches, à la fois harmonieux et délicat. Sa bouche, finement fruitée et légèrement acidulée vous emporte dans une aventure gustative raffinée. Avec zéro arômes ajoutés, ce rosé désalcoolisé est le résultat d’une promesse gustative inégalée. »

et So Jennie, qui propose une création originale de Jennie Kergoat-Ruelland. Un « effervescent sans alcool à base de moûts de raisin de grande qualité pour une robe délicatement rosée et de fines bulles aux arômes subtils« .

Merci donc, Margot pour ce bon moment et ces belles découvertes !