Rien ne me rafraîchit plus que le vin…
C’est le titre d’un canon de Mozart (KV 233) qui daterait de 1782.
En voici les paroles
Nichts labt mich mehr als Wein;
er schleicht so sacht hinein,
er schleicht so sacht, er schleicht sacht hinein!
Er netzt, wenn alles gleich lechzet,
die trockenen Kehlen allein;
läßt wenn Murrkopf auch ächzet,
stets fröhlich mich sein.
Drum schwingt mit mir die Gläser! Stoßt an!
Laßt alle Sorgen sein! Stoßt an!
Wir ersäufen sie im Wein!
il coule en nous si doucement, humectant les gorges sèches…
brandissons nos verres, trinquons ! oublions tous nos soucis, noyons les dans le vin !
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L’histoire de ce canon est un peu sulfureuse. Sa version originale ne serait-elle pas « leck mich im arsch » ? Et est-il bien de Mozart ou plutôt de Wenzel Tnrka ?