tablées de singes et de suisses

Qu’on nous pardonne ce rapprochement purement anecdotique, ce sont deux tableaux vus au musée d’Orsay qui en sont la cause.

L’un le banquet darwinien préhistorique, du peintre très prussien Paul Meyerheim peut être vu à l’expo « Origines du Monde ».

Né en 1842 dans une famille de peintres, portraitiste et paysagiste, il se spécialisa dans la peinture animale.

L’autre, le joueur d’accordéon en compagnie (vers 1905), est du suisse Max Buri. Gesundheit !

Né en 1868 à Berthoud, c’est l’un des principaux représentants de l’avant-garde moderniste suisse à la fin du XIXème siècle.

Et pour conclure, voici une pendule vue chez un antiquaire du Palais-Royal, représentant un putto chevauchant un chien vendangeur.

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