Bien avant la performance de Spencer Tunick à Pouilly-Fuissé , Pascal Ewald, peintre à l’imagination foisonnante, a mis en scène déesses et sylphides dans les vignes de Terrebrune (un des grands Bandol).
On ne peut manquer Diane en chasse, mais il faut s’accrocher pour voir les sylphides perchées dans les arbres..
ou sur les fils téléphoniques.
Qu’en dire, sinon méditer les paroles de Claude Wiart qui nous explique que « la création picturale sert de réalisation hallucinatoire du désir » ?
L’exploration de l’oeuvre de Pascal Ewald, que nous avons rencontré dans son atelier ollioulais, pourrait nous en dire et nous en montrer à voir plus, comme ce blog-là.
Il expose le plus souvent sur les rives de la Méditerranée mais a parcouru aussi l’Europe avec le symposium Saint Jean Népomucène dans les années 2002-2005.
Nous en resterons ici à notre ligne éditoriale avec cette fresque bachique peinte sur bois, exposée un temps dans un restaurant toulonnais, et qui attend encore son présentoir
Il faut y regarder de plus près
pour admirer Bacchus en majesté
et ses envoûtantes fontaines
Super ! Merci pour les photos et texte.
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