C’est une opérette composée par Edmond Audran sur un livret d’Alfred Duru et Henri Chivot, que l’on peut voir ces jours-ci à l’Auguste Théâtre, montée par la Compagnie Fortunio.

Représentée pour la première fois le 11 novembre 1882 au Théâtre des Bouffes à Paris, son livret est inspiré d’une nouvelle du Décaméron de Jean Boccace : La femme vaillante, qui raconte la revanche d’une épouse sur son mari volage et inconséquent.

Si nous en parlons, c’est qu’il s’y trouve un bref air à boire qui a sa place ici.
En joyeux et bons militaires, buvons, chantons, festoyons mes amis !
Ici gaiement vidons nos verres, en attendant les ennemis !
En voici un enregistrement par la classe de chant du conservatoire de sarreguemines en 2017
Il faut aller voir ça ! Digué lé que vengué mon bon !
Pour les amateurs, la partition complète est sur Gallica