Lait maternel qui a abreuvé notre jeunesse, caustique élixir qui a éduqué toute une génération « bête et méchante », Hara-Kiri n’est plus, mais il revit toujours avec cette exposition que l’on peut voir en Arles (jusqu’au 25 septembre).
On se souvient qu’à sa façon, Hara-Kiri a participé à la cause anti-alcoolique que le bon clos soutient, pardi. En voici quelques témoignages.
C’est le regretté Fred qui avait prêté son visage à une campagne imagée.
Tous les arguments sont bons pour une juste cause !
On a quand même le droit de boire un coup un soir de réveillon
Mais attention aux accidents avec le champagne ! Pas avec les pieds !
Cet appareil qu’arbore le Professeur Choron permet de garder l’haleine fraîche…
en cas de contrôle (au cas où il n’aurait pas sur lui le document qui suit)…
Il faut bien rentrer chez soi. Boire et conduire avec Bison Bourré !
C’était une belle bande de fêtards ! R.I.P.
Celle qui suit a été vue dans une autre expo, consacrée à la ligne Maginot. Elle provient du petit ouvrage de Bousse. On ne rigole plus.
Mais ne quittons pas Arles sans nous remémorer le vin croate servi par l’ami Guy.
Un vin capiteux, alcoolisé (15,5°), mais assez délicieux finalement, du vignoble de Pelješac. Le cépage « petit bleu » (plavac mali) est un cousin du zinfandel.
Comment font-ils cela ? Il faudrait aller voir sur place.